Si l’on en croit une étude américaine récente, seuls 9% des personnes arrivent à aller au bout de leurs résolutions de l’année.

Dans le contexte actuel, toujours pandémique avec la COVID-19, les variants et les cas qui se multiplient, tout porte à penser que les résolutions dans les différents secteurs d’activités doivent inclure la modernisation des processus.

L’univers du textile habillement ne fait pas exception.

Jugé comme étant le second plus grand pollueur de la planète, il aura fallu attendre le 1er janvier 2022 pour qu’en France soit mise en application la loi AGEC afin que les marques ne puissent plus détruire leurs invendus.

Depuis la promulgation de la loi, différents postes se sont développés dans les entreprises et les marques ont mis en place différentes politiques de recyclage. L’utilisation de matières recyclées devient la norme. Les plumes, qui sont un « by product » de l’industrie alimentaire, sont remplacées par de la fausse plume, tout comme la fourrure est remplacée par de la fausse fourrure.

Les nouvelles résolutions 2022 pour l’industrie textile ?

InfographieRésolution @Euveka

L’essor récent et le rayonnement de plateformes comme Vestiaire Collective (France) ou Vinted (Lituanie) ne fait pas que témoigner d’une envie de consommer autrement, “en faisant du second choix un premier choix”, mais reflète aussi une industrie qui doit évoluer en amont.

Le monde change, peut-on souvent entendre. La mode aussi, influencée par les nouvelles tendances et par le rapport à soi. De nos jours, la mise en place d’une collection de vêtements se doit de prendre en compte bien plus de facteurs qu’il y a 10 ans.

En effet, si le bien aller, les couleurs et le prix suffisaient auparavant à lancer des plans marketing pour distribuer massivement une marque, il en est autrement aujourd’hui.

Des nouvelles générations qui opèrent le changement

Les nouvelles générations d’acheteurs veulent de l’inclusion, penser au bien-être animal, que les matières premières soient avec l’empreinte carbone la plus basse possible… et que les produits leur aillent bien, quel que soit leur morphotype. Pour ce dernier point, ce sont les modélistes qui sont les acteurs et actrices du changement.

Ce métier, qui bien généralement est perçu comme une personne devant un mannequin en bois, une paire de ciseaux, des aiguilles et qui assemble des pièces de tissus éparses pour assembler le vêtement est au cœur de l’évolution potentielle de la mode.

Le métier de modéliste dans l’industrie textile habillement s’appuie sur différents programmes et outils. Gerber et Lectra jusqu’au rachat de Gerber Technology par Lectra étaient les principaux programmes utilisés pour créer les patronages visant ensuite à couper les rouleaux de tissus pour qu’ensuite le produit puisse naitre.

Avec l’éveil environnemental de la société, il est devenu nécessaire de trouver des alternatives pour réduire le nombre d’échantillons ou de pièces de collections. CLO3D, Solutions4Fashion, Browzwear, Optitex … Répondent en partie à cette problématique et différents acteurs industriels augmentent chaque année le nombre de postes de travail utilisant les technologies 3D visant à réduire la consommation de matières en permettant une prise de décision basée sur un rendu 3D.

Il n’en reste pas moins que lors des lancements de productions, la prise en compte de la morphologie des client(e)s, de leurs âges sont nécessaires pour que les produits développés leur aillent bien.

Équipées de la solution Euveka et des logiciels associés, les modélistes peuvent tester et apprécier le bien aller, le rendu des produits en développements sur toutes les grilles de tailles et tous les fits. Au travers de l’utilisation du logiciel Mimeo, permettant d’adapter le robot mannequin en moins de 90 secondes d’un morphotype à l’autre, les modélistes peuvent travailler plus efficacement.

Tableau comparatif @Solution Euveka

Un vêtement conçu avec les données morphologiques de ses cibles a davantage de chances d’être essayé et vendu.

Les modélistes, au cœur de ce changement, peuvent accompagner le mouvement d’une mode plus éthique, plus inclusive, plus respectueuse de l’environnement et surtout, allant mieux aux client(e)s.

La mode du développement durable doit devenir le développement durable de la mode.

#Modeliste #Mode #Euveka #Ecologie

A propos d’Euveka

Fondée en France, en 2011, Euveka produit et distribue une solution “phygitale” de robots mannequins connectés permettant de reproduire les tailles et les morphotypes pour ainsi englober autant que possible la diversité des corps des consommateurs et des consommatrices.

Euveka a pour mission de permettre aux marques de réduire leur quantité d’invendus et les retours clients pour causes de “mauvais fit” engageant alors l’ensemble de la chaîne de valeur vers une mode plus durable et plus inclusive.

À partir du 1er janvier 2022, le gaspillage non alimentaire devrait commencer à se réduire. 

En effet, suite à la promulgation de la loi anti-gaspillage et pour l’économie circulaire (AGEC pour les intimes), l’ensemble de la chaine de valeur et d’approvisionnement devra réduire le gaspillage. Plus précisément, la loi vise à “obliger producteurs, importateurs et distributeurs à réemployer, réutiliser ou recycler les produits non alimentaires invendus”

Chaque année, entre 10 000 et 20 000 tonnes de produits textiles neufs sont détruits en France. Cela équivaut au poids d’une à deux tours Eiffel. Dans le monde, l’industrie du textile émet chaque année 1,2 milliard de tonnes de gaz à effet de serre, soit 2 % des émissions globales de gaz à effet de serre.

La nature de cette loi colle à l’ère du temps : nécessité de consommer moins et mieux, réutiliser afin de ne pas générer d’empreinte carbone supplémentaire, … Mais il convient de bien cerner à qui cette loi va s’appliquer ainsi que de savoir les peines encourues.

– Quels sont les secteurs concernés par cette loi ?
– Produits électriques
– Produits électroniques
– Piles
– Textiles
– Meubles
– Cartouches d’encre
– Produits d’hygiène et puériculture
– Équipement de conservation et de cuisson des aliments
– Produits d’éveil
– Produits de loisirs
– Livres
– Fournitures scolaires


Nombreux sont les producteurs de ces différents biens de consommation dont les circuits d’approvisionnements sont souvent long, dispersés et générateurs de CO2.

Si les produits électriques, électroniques et tout ce qui a trait à la technologie s’avèrent polluants et posent des problèmes de traitement des déchets, il n’en reste pas moins que l’industrie qui consomme le plus de ressources naturelles et qui pollue le plus est bien celle de l’industrie textile.

La filière textile habillement est même la seconde industrie la plus polluante et génère plus de 1.200 milliards de T de CO2 par an. Pour faire pousser les matières naturelles, les teindre ou encore pour réaliser les produits synthétiques, il faut des quantités astronomiques d’eau.

Si l’on considère qu’un être humain doit boire entre 1.5 et 2 litres d’eau par jour, le fait de porter un jean et un t shirt représente une consommation de 5100 jours à 6800 jours, on se retrouve avec une consommation humaine de l’ordre de 15 années en moyenne ! 

L’industrie du vêtement a besoin de nouveaux indicateurs de performances, tels ceux mis en place par Fairlymade par exemple.

Vestiaire Collective et Vinted s’attaquent à la problématique de la durée de vie ou du nombre d’utilisations d’un vêtement avant qu’il en termine au fond d’un placard avant d’être jeté. 

Néanmoins, un pan complet de vêtements n’est pas pris en compte : Les vêtements produits, mis en rayon, commercialisés, mais jamais vendus. Outre les coûts directs et indirects, c’est l’impact environnemental qu’il faut aussi prendre en compte avec ces milliers de litres d’eau et le CO2 associé pour mettre au point des pantalons, des jupes, des chemisiers, … qui ne trouveront pas porteur. 

Outre le fait de passer par des développements 3D qui peuvent laisser apprécier par les consommateurs si tel ou tel motif, telle ou telle couleur, auront une espérance de succès commerciale, il est temps de prendre un problème de taille à bras le corps !

Et ce problème, c’est celui de la morphologie, du “fit”. 

Pendant longtemps, quelques règles mathématiques suffisaient à extrapoler et ce qui n’était pas vendu au prix normal tendait à être vendu au prix soldé, et dans le pire des cas, on passait les articles en destruction. Avec la loi AGEC, c’est désormais du passé et les marques auront beaucoup à gagner en utilisant de nouvelles technologies pour les assister à la mise au point des tailles et des gradations de leurs vêtements. C’est là la mission principale d’EUVEKA

Comment la technologie Euveka évite la création de futurs invendus ?

Cette solution préventive, implantée en amont des processus de production, permet de mieux cibler son marché grâce à son système de data collect.

Le mannequin-robot permet de reproduire une expérience d’essayage au plus proche de la réalité morphologique.

Pouvoir collecter des informations avant l’essayage sur mannequin cabine et sur diverses autres morphologies est un atout indéniable pour vérifier au réel, le fit, le bien-aller du vêtement, et ce avant de lancer des milliers d’unités qui ne corresponderaient pas aux morphologies du marché ciblé et qui seront soit invendus soit retournés.

La technologie Euveka prévient les défauts de production et permet aux marques de mieux tailler et vendre dans toutes les morphologies.

En cas d’infraction, que risquent les sociétés ?

15 000 EURO par manquement et par personne morale.

Les initiatives de certaines marques sur le recyclage de leurs produits sont elles liées à cette loi ?

Si la prise de conscience en matière de gestion de l’environnement et de la nécessité de consommer mieux les ressources naturelles est saine, il n’en demeure pas moins que la plupart des marques moyennes et haut de gamme qui se sont lancées dans le recyclage de leurs produits l’ont fait à partir du 10 février 2020, date à laquelle la loi AGEC a été promulguée. 

Les invendus du textile habillement représentent 40% des invendus et ont le plus large impact en termes de pollution et de gaspillage des ressources naturelles. 

Certaines marques, telle Wuxly Movement, marque canadienne, proposaient même de reprendre des doudounes usagées, ou encore en état pour établir un avoir visant à faire acheter leur produit qui est “cruelty free”, sans plumes, sans fourrure, afin de participer à une mode moins agressive envers les espèces animales. Cette marque se démarque également par son engagement à recycler des matières premières afin d’avoir une empreinte carbone la plus basse possible. 

En Europe, et en France plus particulièrement, les objets et vêtements qui ne pourront plus aller en destruction devront être donnés à des associations caritatives. 

Si l’on peut se réjouir de cette mise en place de solidarité à marche forcée, la prise en compte des morphotypes dès la phase conceptuelle des produits est une option qui permettra aussi, avec le réemploi et le recyclage, de réduire le gaspillage des ressources naturelles. 

Pour en savoir plus sur l’AGEC, nous vous invitons à vous rendre sur le site du ministère de l’écologie.

Durant des décennies, la construction des modèles s’est effectuée à partir de mannequin en bois pour le Prêt-à-Porter tandis que le Sur-Mesure se basait sur les proportions réelles d’un corps humain, en l’occurrence, celui de l’acheteur ou de l’acheteuse.

Les avantages du Sur-Mesure sont nombreux, allant du bien-aller à la sélection des matières avec le styliste pour arriver à une pièce unique donnant entière satisfaction au client, lequel a passé du temps avec un professionnel pour acquérir un vêtement optimal et qui durera plus longtemps. 

Dans le secteur du Prêt-à-Porter, pendant des années, il s’agissait de passer par des tables de mesures, des gradations statistiques mises à jour par intervalle décennale. 

Avec l’aide de mannequins cabines, l’expérience accumulée des modélistes, la mode a continué à se répandre par delà les frontières en allant vers de nouveaux marchés, avec des morphologies différentes, mais sans pour autant toujours prendre en compte ces dernières. 

Par ailleurs, la croissance rapide de la population mondiale, les changements d’habitudes alimentaires ont contribué à ce que ces modèles préétablis ne correspondent plus aux morphologies des acheteurs et des acheteuses. Au cours des 20 dernières années, l’arrivée et le développement de la Fast Fashion a eu pour conséquence de noyer les acheteurs dans des multitudes de gradations, reflétant chacune une idée différente du client et de la cliente. Le nombre de vêtements produits et jamais portés n’a eu de cesse de croitre en raison de ce lien brisé entre le “qui est ma cliente” et “que peut / veut porter ma cliente”.

Il en résulte l’impact écologique que nous connaissons actuellement et qui fera l’objet d’un article séparé.

Pour faire en sorte que la Mode vous aille si bien, l’utilisation des données morphologiques est devenu une réelle nécessité.

À l’heure du Metaverse et de la 3D, le tout dans un contexte pandémique, le robot mannequin traduit a minima une triple volonté :

Tout ça, vous me direz, c’est bien, mais dans le fonds qu’est-ce qu’un robot mannequin et en quoi il serait mieux qu’un mannequin classique ? 

Le robot mannequin

Il dispose de fonctionnalités particulières qui permettent de l’ajuster pour vérifier les tailles, les prototypes dans toutes les gradations afin que les marques puissent performer au-delà de leurs tailles de base, mais aussi dans toutes les autres morphologies permettant ainsi aux designers et aux patronnières de pouvoir effectuer leur travail plus efficacement.

Les fonctionnalités principales sont les suivantes :

– Ajuster le robot en fonction de vos règles de gradation. On est alors dans un mode “seigneur des anneaux” où un mannequin permet de les gouverner tous. 

– Le mannequin est disponible 24/24 et est une parfaite alternative aux mannequins cabines qui ne sont pas toujours disponibles. Le robot mannequin, c’est l’assurance de pouvoir tester tous vos produits et d’en vérifier les mesures en un minimum de temps. 

– Grâce à sa technologie, le robot mannequin permet aussi de reproduire le taillant de vos autres produits et de vous assurer de la cohérence des grilles de tailles et gradations, saison après saison. 

– Enfin, comme toute solution hautement technologique, il est possible d’exporter vos données afin de les analyser et de mettre en exergue les écarts de mesures, et d’identifier les défauts des vêtements avant leur lancement en production. 

– Du point de vue des marques, c’est un atout indéniable pour améliorer la durabilité et l’inclusion. Et avec les données collectées, c’est aussi la possibilité de pouvoir réduire leurs coûts de logistique et de production. 

Le Mannequin classique

Qu’il soit en bois, recouvert d’une toile, le mannequin en bois a jusqu’à présent satisfait des générations de designers, et soyons honnêtes, il a un côté noble et solennel. Néanmoins, le mannequin de classique est tel qu’il est : statique,  non réglable et défaut principal s’il en est, il ne reflète en aucun cas un vrai corps humain. Tel une statue, il incarne une idée d’un corps sur lequel peuvent s’enfiler différents vêtements. 

Les développements et tests de “size sets” sur de tels mannequins, contribue à l’inutilité ou à l’impossibilité de vendre certains produits. En effet, tant que votre corps est dans la norme et que vous restez dans les tailles les plus communes, vous avez de grandes chances de trouver chaussure à votre pied, ou plutôt chemise à votre buste. 

Par contre, dès que vous tendez vers des tailles telles que le XS ou le 3XL+, il arrive souvent que les vêtements ne vous aille pas, trop étriqué, manches trop longues ou trop courtes, difficulté à fermer les boutons au niveau de la poitrine … ou tout simplement, que le vêtement ne vous aille pas ou ne vous plaise plus une fois porté puisque vous ne vous plaisez pas dedans.

À une époque où la reconnaissance faciale devient monnaie courante et où la digitalisation se fait à marche forcée, il semble que bien produire des tailles repose davantage sur une volonté des marques et des fabricants d’utiliser des outils modernes que sur une contrainte de développer des solutions par eux-mêmes.  

Le mannequin robot apparait alors comme un moyen de répondre aux évolutions et enjeux de la société. 

Les marques et les réseaux de distributions continuent de s’étendre partout dans le monde et la prise en compte des différentes morphologies est obligatoire. 

Un produit mal conçu est un produit qui ne sera jamais vendu. Il aura néanmoins été ajusté, produit et donc consommé des ressources naturelles. Pire encore, il aura été transporté, placé en magasin… tout cela pour finir indéfiniment dans un stock.

Outre l’impact économique, c’est aussi un large impact en termes environnementaux, et ces impacts sont supportés par les marques, les distributeurs et les consommateurs.

Disposer d’un robot mannequin permet aux marques de pouvoir exploiter les bibliothèques de données propres à Euveka. C’est alors aller au plus près des morphotypes de chaque cliente. C’est inclure les morphologies des femmes du monde entier pour faire en sorte que les produits de chaque taille soit achetables et portés plus longtemps. Le mannequin Euveka permet aussi une inclusivité de toutes les personnes travaillant sur les vêtements et de réduire la pénibilité grâce à la suspension intégrée. Aujourd’hui, plus que jamais, les marques peuvent faire que la mode vous aille bien. 

Euveka est une société française disposant d’une technologie brevetée, de 8 ans de Recherche et Développement et dont l’objectif affirmé est de rapprocher les marques de leurs marchés grâce à son mannequin robot.

C’est une problématique qui touche la plupart d’entre nous : comment s’habiller quand notre corps change ? Notre corps évolue pour diverses raisons au cours de notre vie. Avec les milliards de vêtements produits chaque année par l’industrie de la Mode, nous pourrions espérer que chacun d’entre nous trouve satisfaction… Pourtant la difficulté à se vêtir, même sur les morphologies les plus typiques, comme celles des femmes enceintes et post-partum, est bien réelle et cela devient un véritable casse-tête pour bon nombre d’entre nous.

Quand les marques développent leur collection pour couvrir des ensembles de morphotypes en se basant uniquement sur des modèles de corps jeunes, sveltes et dynamiques qui ne correspondent pas du tout au train de vie de 98% de la population, ce n’est ni inclusif, ni écologique.

Les vêtements doivent mieux remplir leur fonction car nous passons notre vie dedans.

Un client ne fera jamais la même taille au fil des années, les marques, les industriels doivent s’adapter à la vraie vie des personnes qui connaissent des situations répétées ou imprévisibles : variation de poids, handicaps, grossesses, ménopause… et les accompagner au mieux durant ces étapes fondamentales qui changent les corps, avec confort et esthétisme.

C’est éthiquement économique. Chez Euveka nous prônons ces nouveaux business modèles fondés non pas sur le volume, mais sur la finesse de l’adressage, renforcée par la technologie, pour créer un produit qui sera vendu et non jeté, retourné ou invendu.

Nous adressons aussi un gros soutien à @Blake Lively et @Salma Hayek qui ont osé s’exprimer sur le sujet et à toutes les autres personnes qui ne se sentent pas représentées aujourd’hui dans la mode. Sachez que nos équipes se démènent sans relâche pour faire entendre ce cri d’appel.

Renforçons la démarche –>Partagez nous votre expérience, vos ressentis, vos idées…  

Une nouvelle expérience d’essayage, plus inclusive, personnalisée et à distance pour vos clients VIP !

N’essayez pas le vêtement directement sur vous, visualisez votre article à votre morphologie sur le robot-mannequin!

Vente à distance – Photo Shooting

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